« Il y a un siècle, quand médecins, peintres et usagers des maisons closes étaient les seuls mortels à approcher le Nu, la nudité demeurait impure. Chargée du puissant attrait de l’interdit, elle arborait les couleurs d’une vérité que l’ordre en place tenait à garder secrète. On l’autorisait aux statues des musées avec la réserve métaphorique d’une feuille de vigne. Mais les élites qui l’admiraient dans le marbre, l’avaient en horreur à l’état vivant.
Le dessin exige que toutes les facultés de l’artiste s’y attèlent, afin que l’œuvre achevée sollicite à son tour toutes les facultés de celui qui la contemple. On n’en sort pas indemne ? Eh non, c’est même le but de l’art : nous déstabiliser en profondeur, nous révéler quelque chose de nous-mêmes que nous évitions jusque là… »
Quelques citations de
Sophie Chauveau.
Michel Four vit et peint à Paris.
Il a exposé aux états Unis, en Corée, en Allemagne, en Belgique, au Brésil et surtout à Paris.
Quand il ne peint pas, il dessine…des femmes entre autres…
Ces femmes dont le poète Xavier Bordes disait « Il y a dans tes femmes, Michel, un contre poison à l’angoisse des jours sans pitié… »
Quelques peintures de Michel Four :